« L’esprit conçoit avec douleur, mais il enfante avec délices » !
Ô clos des délices !
Quel supplice
De ne point se laisser aller
Aux plaisirs d’aimer !
Ô délices infinis
Dans ce ciel, véritable lieu de paradis !
Donne moi le vertige
Vertige de l’amour oblige !
Ô des Lys Cieux
Ce met doux et mielleux
Belle prémonition de jouissance
En toute puissance
Ô Femme à la peau Lys
Quels prémices
D’un feu ardent
Crépitant avec le souffle, le vent !
Ô l’envie d’un délissage
De cette chevelure sauvage
Quelle offrande tu me présentes
Par ces lèvres béantes
Ô Belle Demoiselle adorée
Prise dans mes filets
Respire mes essences de palissandre
Pour tournoyer dans les méandres